Une manipulation politique saverno-savernoise
Certain(e)s d’entre vous ont entendu parler de cette pique judiciaire que Thierry Carbiener a subie en 2019 – 2020 par une machination politique saverno-savernoise, allègrement diffusée le plus largement possible pour abattre. Les calomnies ont été telles depuis juin 2019 que nous, équipe de campagne féminine et masculine, devons continuer, encore à ce jour, et particulièrement en période électorale, à rétablir la vérité.
Rappel des faits
Une voisine de quartier de Thierry, s’était alors éprise de lui et n’avait eu, depuis lors, de cesse de le poursuivre de ses assiduités, malgré son veto exprimé courtoisement plus d’une centaine de fois (de vive voix, par sms, par mails, des témoins savent). Ce refus a occasionné ainsi progressivement sa jalousie exacerbée et, in fine, son hostilité provocatrice. Elle n’arrêtait plus de se montrer ultra-intrusive au domicile de Thierry, chaque week-end notamment, du jeudi soir au dimanche, de plus en plus depuis 2015.
Au point que le lundi de Pentecôte 2019, au domicile de Thierry (aucunement de celui de cette voisine), il a dû la pousser de côté avec son bras pour pouvoir passer sa porte qu’elle bloquait alors qu’il devait aller travailler.
Thierry était, en outre dans l’empressement de devoir partir – c’était l’heure du début de ses 4 présences publiques dans son canton ce matin-là –, il subissait de prendre du retard.
Pivotant sur elle-même à son passage, l’intruse s’était cognée – toute seule – sa pommette gauche contre le mur, s’occasionnant une contusion simple, rien de plus, pas de plaie, pas de sang évidemment.
Immédiatement, courtoisement, l’après-midi même, Thierry s’était excusé auprès d’elle par texto bienveillant. De son côté, elle lui envoyait sa photo de visage par sms.
Selon de nombreux témoins, dans les jours suivants, le maire de Saverne arborait une photo dudit visage et évoquait de la violence, alors qu’il n’avait été témoin de rien du tout (aucun contradictoire, une seule parole en sens unique !). Il profitait de cette aubaine de proscription vis-à-vis de son opposition – à neuf mois des municipales, ayant lui-même un conflit d’intérêt dénoncé fort justement par Anticor – pour adresser une lettre incroyablement incisive contre Thierry Carbiener à monsieur le Procureur de la République de Saverne.
De surcroît, le même jour de cette missive, S. Leyenberger publiait sur facebook, une illustration de main levée sur une femme, avec un commentaire suscitant autant que possible un maximum de réactions internautes : coïncidence clairement sordide, viscéralement amalgame (puisque cela ne correspond en rien aux faits réels). On peut aisément imaginer la conséquence d’un tel buzz destructeur, au même moment, sur les réseaux sociaux ! Manipulation ignoble…
Parallèlement commençait à courir une détraction diffamatoire, répandue et entretenue à travers la ville, afin de salir voire d’abattre Thierry, à destination bien sûr alors aussi du canton, voire au-delà : déferlement de fake news, rumeurs calomnieuses, amplifiées et déformées. Même une invention : non, il n’y a eu aucune gendarmerie sur place, formellement, aucun appel de personne, puisqu’aucune gravité.
Le jugement
Le jugement, en plein climat #MeToo, a valu à Thierry Carbiener un sursis de deux mois, c’est-à-dire une sanction privée pour cette simple poussée de côté d’une femme s’emportant contre lui. Madame le Juge, une Dame donc, a clairement écarté toute notion d’inéligibilité, aucune mention au casier. Qu’avait à faire la politique dans un différend privé ? Manigance.
Dans un souci d’apaisement, de respect de l’institution judiciaire, Thierry et son avocat ont alors fait le choix de ne pas interjeter appel de la décision rendue, suite, en résumé, à un incident isolé relevant de la vie privée, qui ne méritait aucunement que l’on lui jette l’opprobre. Thierry ne souhaitait pas non plus le moindre titre supplémentaire dans la presse, dans ce même souci d’apaisement ; les blessures mentales endurées par lui ont été –et sont encore- suffisamment insupportables.
Désintox
La presse l’avait malheureusement discrédité de façon humiliante : haro sur un élu, pourtant on ne peut plus clean, sans aucun antécédent. Elle avait même publié certains mots erronés : « garde à vue » (?) alors qu’audition libre, « maîtresse » alors que pas du tout, « violence conjugale » alors que geste déplacé bénin, ni couple, ni même toit.
C’était donc vraiment un fait quasi-accidentel, Thierry n’a jamais eu aucune intention d’aucune violence
*) contre cette voisine amie (de 5 ans, donc ils se connaissaient bien, n’avaient clairement jamais aucune crainte : tout le quartier -et même Saverne- le sait bien, les familles, leurs amis respectifs et leurs connaissances aussi),
*) ni contre qui que ce soit d’autre, de toute sa vie. Jamais ! C’est une réalité manifeste, il n’existe aucun cas, il n’y en a jamais eu, malgré certaines rumeurs fallacieuses, sournoisement colportées depuis des années à Saverne, jalousies, méchancetés, aigreurs …
Ladite voisine sait parfaitement tout cela – on en a assez parlé, de ces calomnies attentatoires, autant que Thierry n’a jamais fait de mal à une mouche, ni chez lui, ni ailleurs. Il est entouré d’une famille et d’ami(e)s adorables, il est un ami des animaux (contre toute maltraitance), un soutien inconditionnel des SPA, etc.
Depuis toujours, il est d’ailleurs patent que Thierry condamne systématiquement, avec fermeté, les violences faites aux femmes (partout, toujours, sur son facebook à la moindre occasion). Et il encourage publiquement la féminisation des sapeurs-pompiers, depuis des années, s’étant engagé en faveur de vrais moyens vestiaires / sanitaires dans les casernes. Pas de belles phrases, mais des actes.
Lutter contre la diffamation, rétablir la vérité
Thierry Carbiener dispose des preuves absolues et formelles concernant tous les éléments mentionnés. Il se tient, en outre, à la disposition des personnes qui souhaitent lui poser des questions, ici, sur thierry.carbiener@gmail.com
En fait, la présente communication s’avère préventive, afin d’éviter que les opposants politiques à la candidature départementale Valentine FRITSCH – Thierry CARBIENER ne cherchent à se servir de ce jugement pour entacher leur réputation auprès des électrices et des électeurs qui leur ont toujours fait confiance, des citoyennes et des citoyens qui ne les connaissent pas ou trop peu, alors qu’ils n’entendent que les servir sans faille, consciencieusement, délibérément : tant pourrait devenir possible de leur part via la CEA, et au profit des sapeurs-pompiers du Bas-Rhin, la motivation est là.
La vérité étant rétablie à présent à travers les différentes publications de Thierry, nous engageons chacun à lutter contre toute forme de calomnie, à ne jamais relayer de fausses informations, à ne pas engendrer de propos mensongers, qui relèveraient de la diffamation.
Si vous le jugez utile, n’hésitez pas communiquer cette page à vos proches et à vos connaissances, merci beaucoup.