Voeux aux Maires du canton
Category:CEAMesdames et messieurs les maires,
mesdames et messieurs les adjoint(e)s,
mesdames et messieurs les conseiller(e)s municipaux,
Permettez-moi de vous exprimer mes meilleurs vœux pour 2021 en ce que :
« En échange de la confiance déposée en moi, je rendrai le courage et le dévouement qui conviennent à l’heure présente » Franklin Roosevelt – 4 mars 1933 – Discours d’investiture
en même temps que je souhaite vous rendre compte, à vous élus représentant la population, de mes actes, choix et engagements pris dans le cadre de mes fonctions près de vous ces six dernières années :
- J’ai eu l’honneur de SERVIR nos concitoyen(ne)s, de 2015 à cette année 2021, au travers du Conseil Départemental du Bas-Rhin, c’est-à-dire eu la possibilité de :
- contribuer à gagner ce challenge d’une excellente gestion financière départementale dans les temps difficiles d’après 2015 = réduction drastique du fonctionnement et de la dette ancienne du CG67, devenu CD67
- accompagner tous les besoins sociaux, humains, intergénérationnels, structurels, collégiens, routiers, économiques, environnementaux, culturels et sportifs qui ont pris de l’amplitude
- innover via une vraie territorialisation, inscrivant plus que jamais le Département comme la « collectivité de la proximité », avec ses binômes reconnus pour leur implication personnelle, en profondeur, au profit des communes, des associations et de la population,
- mettre en œuvre notre récent « plan Marshall », en regard des problématiques covid-19 qu’on n’imaginait d’abord pas aussi graves, qui pourtant sont vraisemblablement en train de changer nombre de paradigmes de la société actuelle.
- J’ai connu la satisfaction d’avoir pu replacer la politique dans la gouvernance du SDIS 67 (merci de la confiance de Frédéric Bierry), permettant ainsi une saine et étroite collaboration avec la Direction de tous les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin, volontaires et professionnels (avec les personnels administratifs et techniques), afin de booster cette institution dans des registres d’efficacité et de modernité lui valant de compter aujourd’hui parmi les tous premiers SDIS de catégorie A de France : campagne Evolsdis créant les compagnies, nouveaux Règlements Opérationnel et Intérieur, révision de la contribution (plus aucun contentieux), évitement de toute dette, programmes d’équipements pleinement maîtrisés, visites de terrain -pratiquées à la demande- autant que possible, dialogue social triplement abouti (3 votes cruciaux des syndicats à l’unanimité !), protection des sapeurs-pompiers soumis aux violences urbaines, deux accidents de TGV (dont le 1er tragiquement mortel), funeste attentat de Strasbourg, gestes qui sauvent dans tous les collèges du Bas-Rhin, Académie Transfrontalière des Risques (dimension européenne amorcée), entrée dans les Bureaux Nationaux des CNSIS – CNSPV – ANSC, premier déploiement NexSIS de France dès l’automne 2021, organisation d’Assises Nationales en 2020 (malheureusement empêchées en raison de la pandémie) (pourtant première invitation, depuis 20 ans, d’une manifestation nationale sapeurs-pompiers en Alsace), adaptation souple et sans faille à la crise sanitaire covid-19 dès mars 2020, renouvellement du Directeur Départemental et du Directeur Départemental Adjoint, livre des 20 ans du SDIS du Bas-Rhin, …
- Néanmoins, dans cette dernière année, j’ai subi personnellement un choc épouvantable –aussi intensivement douloureux qu’absolument injustifié-, comme suit : un véritable système d’abattage politique, prodigué à Saverne durant l’été 2019 par son maire, à 8 mois de l’élection municipale [*], alors qu’il ne s’agissait en fait que d’un contexte privé sans gravité. Une voisine de quartier, alias colistière savernoise Saverne Naturellement en 2014, qui s’était alors éprise de moi et n’avait eu, depuis lors, de cesse de me poursuivre de ses assiduités, malgré mon veto exprimé courtoisement sûrement une centaine de fois –occasionnant ainsi progressivement sa jalousie exacerbée et, in fine, son hostilité provocatrice- n’arrêtait plus de se montrer ultra-intrusive à mon domicile, chaque week-end notamment, du jeudi au dimanche depuis 2016. Au point que le lundi de Pentecôte 2019, à mon domicile (aucunement le sien), j’ai dû la pousser de côté avec mon bras pour pouvoir passer ma porte = un geste anodin, aucune idée de la contusionner de ma part, malgré pourtant son harcèlement hystérique à ce moment-là. J’étais, en outre, bel et bien dans l’empressement de devoir partir – c’était l’heure du début de mes 4 présences publiques dans mon canton ce matin-là -, prenant du retard à cause de son agressivité vocifératrice. Pivotant sur elle-même à mon passage, l’intruse s’était cognée toute seule -sa pommette gauche- contre le mur, s’occasionnant une contusion simple, rien de plus, pas de plaie, pas de sang évidemment. C’était donc un fait quasi-accidentel, je n’ai commis aucune violence contre cette voisine de quartier (tout le quartier le sait, les familles, amis et connaissances aussi), ni contre qui que ce soit d’autre, de toute ma vie.
Elle n’a d’ailleurs pas porté plainte, mais, vengeresse, pour me nuire par la politique, a couru vers le maire de Saverne –et fait un signalement en trahison d’une colistière voulant sévir-, lequel maire a alors profité de cette aubaine de proscription vis-à-vis de son opposition, pour adresser une lettre incroyablement incisive contre moi à monsieur le Procureur de la République de Saverne !!! M. Leyenberger a publié, le même jour, sur facebook, une illustration de main levée sur une femme, avec un commentaire suscitant si possible un maximum de réactions : coïncidence clairement sordide, viscéralement faussement accusatrice à mon endroit (puisqu’aucun geste violent délibéré de ma part, ni aucune intention bien sûr) pour fabriquer un buzz destructeur, alors qu’en fait, de près comme de loin, je n’étais absolument pas concerné par ce type d’insinuation.
Et je ne vous dis pas, parallèlement, la détraction diffamatoire répandue et entretenue à fond à travers la ville pour me salir, puis dans le canton, etc… , totalement abusivement : déferlement de fake news éhontées – tout le contraire de la vérité -, rumeurs calomnieuses inventées, amplifiées et déformées !!!
A l’instar des impolitesses et dénigrements publics en série que j’ai essuyés depuis lors à Saverne, directement de la part du maire, ainsi que de la part de certains membres de son équipe. On y voit clairement l’intention infamante « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » qu’ils pérennisent, une vraie machination savernoise ! Heureusement que partout ailleurs, dans le canton, en Alsace, personne ne se soit pas livré aux impolitesses caractérisées de leur genre.
Je tiens bien volontiers à votre disposition toutes les preuves de mon présent dire. Je vous prie d’y voir l’assurance de ma meilleure foi, avec ma vraie envie de transparence.
La presse m’avait discrédité de façon fort humiliante : haro sur un élu, pourtant on ne peut plus clean, sans aucun antécédent. Elle avait même publié certains mots erronés : « Garde à vue » (??) alors qu’audition libre, « maîtresse » alors que pas du tout, …
Le jugement, en plein climat Me Too, m’a valu un sursis de deux mois, en sanction de cette simple poussée de côté d’une femme agressive contre moi : Madame le Juge, une Dame donc, a clairement écarté toute notion d’inéligibilité, avec bien sûr aucune mention au casier. Dans un souci d’apaisement, de respect de l’institution judiciaire, avec mon avocat, j’ai alors fait le choix de ne pas interjeter appel de la décision rendue, suite, en résumé, à un incident isolé, relevant de ma vie privée, qui ne méritait pas que l’on me jette l’opprobre.
Et je ne souhaitais le moindre titre supplémentaire dans la presse, j’en avais assez bavé, les blessures mentales endurées avaient été suffisamment insupportables. Vous n’imaginez pas la souffrance personnelle éprouvée pendant plus d’un an via cette diatribe subie, dans un silence assourdissant obligé pendant l’instruction du dossier, laquelle souffrance m’amène, depuis l’automne dernier, à un besoin vital de m’expliquer, quête de réalité, quête de vérité, fin des mensonges et calomnies, pour légitimement regagner mon honneur au grand jour : c’est pourquoi, je m’adresse à vous en priorité, mesdames et messieurs les élus communaux, après mes collègues départementaux.
Si besoin est de l’exprimer ici, sachez que je milite clairement, depuis toujours, contre les violences faites aux femmes : je n’ai jamais cessé de me porter fervent défenseur de toutes les mesures de justice prises contre les violences familiales, conjugales, aux enfants (= impensable !) … également celles occasionnées à des animaux, que je conçois comme rigoureusement inexcusables !
Par exemple, j’ai toujours appelé à la plus grande vigilance (et à la sévérité) au sein des jeunes sapeurs-pompiers, où la féminisation, devenue un enjeu national, que j’appuie pleinement au STIS du Bas-Rhin, m’a systématiquement amené à encourager les formateurs dans leur enseignement du respect, des valeurs, de la discipline, de l’esprit d’équipe sain et sincère.
La présente communication aux concitoyennes et aux concitoyens, totalement authentique, s’avère indispensable pour moi, afin d’éviter que certains opposants politiques potentiels ne se servent de ce jugement pour entacher ma réputation auprès de celles et de ceux qui m’ont toujours fait confiance. Et que je continue à servir sans faille, avec joie, dans le cadre de mon mandat de Conseiller d’Alsace et Président du STIS du Bas-Rhin, je les remercie de leur soutien.
A présent, nous sommes donc repartis au travail, avec entrain, ardeur et conviction, que la porte que nous ouvrons ensemble sur la CEA (Collectivité Européenne d’Alsace) nous stimule à :
– concrétiser une belle convergence entre le Bas-Rhin et le Haut-Rhin, l’Alsace au 1e plan
– assurer la poursuite de nos politiques publiques, sur fil conducteur de territorialisation, avec ouverture sur les nouvelles compétences octroyées lors de l’Accord de Matignon, sans oublier l’accroissement du transfrontalier
– pérenniser notre vocation d’être la collectivité de la proximité (avec des élu(e)s référent(e)s, parfaitement représentatifs et hautement actifs dans leurs cantons)
– réaliser les différentes transitions attendues (environnementale, alimentaire, économique en matière de déplacements –transports en commun, circulations douces-, progression du numérique)
– bien entretenir et mettre en valeur notre culture alsacienne, nos valeurs profondément humanistes, solidaires et progressistes, tout en réussissant le meilleur fonctionnement évolutif, au travers d’économies d’échelle à atteindre, également au travers –forcément- de la plus rapide sortie possible de la crise sanitaire actuelle.
Excellente année à toutes et à tous, fidèlement et sincèrement,
Thierry Carbiener
Note [*] : [inquiet qu’il était lui-même politiquement, accusé de conflit d’intérêt par l’Association Anticor, via des éléments existant concrètement bel et bien]
Lexique :
CNSIS : Conférence Nationale des Services d’Incendie et de Secours
CNSPV : Conseil National des Sapeurs-Pompiers Volontaires
ANSC : Agence du Numérique de la Sécurité Civile
NexSIS 18-112 : Concept d’uniformisation des logiciels du traitement de l’alerte et de la gestion opérationnelle (système numérique).