Soyons bien clairs : c’est parce que les 2 Conseils départementaux du 67 et du 68 ont mis en œuvre leurs budgets avec beaucoup de parcimonie durant ces 6 dernières années (par exemple réduction de la dette de 415 millions d’€ !!) que la CEA a eu l’avantage de pouvoir voter son premier budget primitif sur la base d’une notation AA3 et s’engager à réaliser d’emblée 1 million d’€ d’économies sur les charges de structure.
Chère concitoyenne, cher concitoyen,
De la lecture de l’article DNA du samedi 23 janvier dernier (page Molsheim-Obernai) répertorié ici, il ressort bien évidemment qu’à quelques mois des élections départementales et régionales, il appartient au binôme du Canton de Saverne, actuellement en fonction, de se positionner au regard de l’avenir de ce territoire.
Ceci s’impose d’autant plus au regard d’un travail accompli –et toujours encore en cours, à fond bien entendu-, lorsque l’heure est au bilan des six dernières années passées à la tâche. D’autant lorsqu’il s’est agi, pour ma part, d’un engagement public à hauteur d’environ 80% du temps de mes journées de 18 heures – 60% dans les week-ends, car consacrant la moitié de mes dimanches à ma mère très âgée à son domicile-, et en ne prenant quasiment pas de vacances, autrement dit :
Bien évidemment, je me tiens à votre entière disposition pour répondre à tout mail interrogatif sur ces sujets, à l’adresse de correspondance dédiée ici, sur ce site : thierry.carbiener@gmail.com (ou de façon directe, de vive voix, dès que nous pourrons nous revoir sitôt l’après-covid. A votre disposition, bien volontiers).
Vous retrouverez ces éléments, s’ils vous intéressent, dans ma lettre de compte-rendu et de vœux aux maires du canton.
En d’autres termes,
comme le disait Henri-Frédéric Amiel (Journal intime, 6 janvier 1853) « Il faut savoir achever, conclure, boucler, terminer, sans cela on n’accomplit rien »,
il m’importerait bien évidemment de pouvoir continuer cet investissement en profondeur, grâce à votre vote favorable en juin 2021, au profit de l’évolution de la CEA (Collectivité Européenne d’Alsace), comme sur le fond et la forme d’une convergence politique souhaitable à créer pour les STIS du Bas-Rhin et du Haut-Rhin : simplement pour cela, il faudra d’abord être élu à la CEA à l’échéance cantonale de juin prochain. Grâce à votre soutien.
Alors oui, il me paraît évident que Michèle Eschlimann et moi-même, forts de nos domaines de compétence spécifiques, « personnes âgées / handicap / autonomie » pour elle, «univers des sapeurs-pompiers » pour moi, avons pour devoir, en nous présentant à vos suffrages dans 4,5 mois, de continuer à apporter la meilleure expérience du Conseil départemental du Bas-Rhin vers ladite CEA, c’est-à-dire d’être présents tous les deux, de manière à ce que l’ensemble de notre travail puisse être prorogé. En d’autres termes, éviter toute division qui éliminerait l’un des deux niveaux de connaissance, de savoirs et de savoir-faire, voire les deux !! Car attention aux votes extrêmes, si notre électorat se retrouvait fractionné.
Michèle Eschlimann connaît parfaitement ma position, qu’il serait ainsi souhaitable que nous continuions à associer notre volonté d’améliorer encore et toujours les choses : il lui appartient donc de donner suite (ou non) à ma proposition, nous en avons parlé plusieurs fois, y compris avec nos suppléants. La donne est claire. Il s’agit d’être réaliste, responsable, adulte et expérimenté face aux enjeux ; pour être constructif, pas de fragilisation de l’électorat droite – centre-droit.
« Construire peut être le fruit d’un travail long et acharné ; détruire peut être l’œuvre d’une seule journée » Citation de Winston Churchill (Les pensées 1874-1965)
En résumé, je pense que c’est la meilleure façon d’être le plus assidument et le plus expertement au service des Alsaciens, à tous les étages possibles de la réflexion et de l’action, c’est-à-dire au bénéfice des concitoyennes et des concitoyens, des associations, des communes comme des intercommunalités, ce :
– dans le strict respect du denier public,
– également dans les nouveaux domaines élargis propres à la CEA : bilinguisme, relations transfrontalières, prise en compte des routes nationales, renforcement économiques, d’ores et déjà commencés,
– sans oublier, en tout premier lieu, la plus prompte sortie possible de la crise sanitaire covid actuelle.
« Il n’est rien dont le travail et l’exercice ne viennent à bout » Paroles de Plutarque (L’éducation des enfants – Ier s. ap. J.-C)
Mesdames et messieurs les maires,
mesdames et messieurs les adjoint(e)s,
mesdames et messieurs les conseiller(e)s municipaux,
Permettez-moi de vous exprimer mes meilleurs vœux pour 2021 en ce que :
« En échange de la confiance déposée en moi, je rendrai le courage et le dévouement qui conviennent à l’heure présente » Franklin Roosevelt – 4 mars 1933 – Discours d’investiture
en même temps que je souhaite vous rendre compte, à vous élus représentant la population, de mes actes, choix et engagements pris dans le cadre de mes fonctions près de vous ces six dernières années :
Elle n’a d’ailleurs pas porté plainte, mais, vengeresse, pour me nuire par la politique, a couru vers le maire de Saverne –et fait un signalement en trahison d’une colistière voulant sévir-, lequel maire a alors profité de cette aubaine de proscription vis-à-vis de son opposition, pour adresser une lettre incroyablement incisive contre moi à monsieur le Procureur de la République de Saverne !!! M. Leyenberger a publié, le même jour, sur facebook, une illustration de main levée sur une femme, avec un commentaire suscitant si possible un maximum de réactions : coïncidence clairement sordide, viscéralement faussement accusatrice à mon endroit (puisqu’aucun geste violent délibéré de ma part, ni aucune intention bien sûr) pour fabriquer un buzz destructeur, alors qu’en fait, de près comme de loin, je n’étais absolument pas concerné par ce type d’insinuation.
Et je ne vous dis pas, parallèlement, la détraction diffamatoire répandue et entretenue à fond à travers la ville pour me salir, puis dans le canton, etc… , totalement abusivement : déferlement de fake news éhontées – tout le contraire de la vérité -, rumeurs calomnieuses inventées, amplifiées et déformées !!!
A l’instar des impolitesses et dénigrements publics en série que j’ai essuyés depuis lors à Saverne, directement de la part du maire, ainsi que de la part de certains membres de son équipe. On y voit clairement l’intention infamante « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » qu’ils pérennisent, une vraie machination savernoise ! Heureusement que partout ailleurs, dans le canton, en Alsace, personne ne se soit pas livré aux impolitesses caractérisées de leur genre.
Je tiens bien volontiers à votre disposition toutes les preuves de mon présent dire. Je vous prie d’y voir l’assurance de ma meilleure foi, avec ma vraie envie de transparence.
La presse m’avait discrédité de façon fort humiliante : haro sur un élu, pourtant on ne peut plus clean, sans aucun antécédent. Elle avait même publié certains mots erronés : « Garde à vue » (??) alors qu’audition libre, « maîtresse » alors que pas du tout, …
Le jugement, en plein climat Me Too, m’a valu un sursis de deux mois, en sanction de cette simple poussée de côté d’une femme agressive contre moi : Madame le Juge, une Dame donc, a clairement écarté toute notion d’inéligibilité, avec bien sûr aucune mention au casier. Dans un souci d’apaisement, de respect de l’institution judiciaire, avec mon avocat, j’ai alors fait le choix de ne pas interjeter appel de la décision rendue, suite, en résumé, à un incident isolé, relevant de ma vie privée, qui ne méritait pas que l’on me jette l’opprobre.
Et je ne souhaitais le moindre titre supplémentaire dans la presse, j’en avais assez bavé, les blessures mentales endurées avaient été suffisamment insupportables. Vous n’imaginez pas la souffrance personnelle éprouvée pendant plus d’un an via cette diatribe subie, dans un silence assourdissant obligé pendant l’instruction du dossier, laquelle souffrance m’amène, depuis l’automne dernier, à un besoin vital de m’expliquer, quête de réalité, quête de vérité, fin des mensonges et calomnies, pour légitimement regagner mon honneur au grand jour : c’est pourquoi, je m’adresse à vous en priorité, mesdames et messieurs les élus communaux, après mes collègues départementaux.
Si besoin est de l’exprimer ici, sachez que je milite clairement, depuis toujours, contre les violences faites aux femmes : je n’ai jamais cessé de me porter fervent défenseur de toutes les mesures de justice prises contre les violences familiales, conjugales, aux enfants (= impensable !) … également celles occasionnées à des animaux, que je conçois comme rigoureusement inexcusables !
Par exemple, j’ai toujours appelé à la plus grande vigilance (et à la sévérité) au sein des jeunes sapeurs-pompiers, où la féminisation, devenue un enjeu national, que j’appuie pleinement au STIS du Bas-Rhin, m’a systématiquement amené à encourager les formateurs dans leur enseignement du respect, des valeurs, de la discipline, de l’esprit d’équipe sain et sincère.
La présente communication aux concitoyennes et aux concitoyens, totalement authentique, s’avère indispensable pour moi, afin d’éviter que certains opposants politiques potentiels ne se servent de ce jugement pour entacher ma réputation auprès de celles et de ceux qui m’ont toujours fait confiance. Et que je continue à servir sans faille, avec joie, dans le cadre de mon mandat de Conseiller d’Alsace et Président du STIS du Bas-Rhin, je les remercie de leur soutien.
A présent, nous sommes donc repartis au travail, avec entrain, ardeur et conviction, que la porte que nous ouvrons ensemble sur la CEA (Collectivité Européenne d’Alsace) nous stimule à :
– concrétiser une belle convergence entre le Bas-Rhin et le Haut-Rhin, l’Alsace au 1e plan
– assurer la poursuite de nos politiques publiques, sur fil conducteur de territorialisation, avec ouverture sur les nouvelles compétences octroyées lors de l’Accord de Matignon, sans oublier l’accroissement du transfrontalier
– pérenniser notre vocation d’être la collectivité de la proximité (avec des élu(e)s référent(e)s, parfaitement représentatifs et hautement actifs dans leurs cantons)
– réaliser les différentes transitions attendues (environnementale, alimentaire, économique en matière de déplacements –transports en commun, circulations douces-, progression du numérique)
– bien entretenir et mettre en valeur notre culture alsacienne, nos valeurs profondément humanistes, solidaires et progressistes, tout en réussissant le meilleur fonctionnement évolutif, au travers d’économies d’échelle à atteindre, également au travers –forcément- de la plus rapide sortie possible de la crise sanitaire actuelle.
Excellente année à toutes et à tous, fidèlement et sincèrement,
Thierry Carbiener
Note [*] : [inquiet qu’il était lui-même politiquement, accusé de conflit d’intérêt par l’Association Anticor, via des éléments existant concrètement bel et bien]
Lexique :
CNSIS : Conférence Nationale des Services d’Incendie et de Secours
CNSPV : Conseil National des Sapeurs-Pompiers Volontaires
ANSC : Agence du Numérique de la Sécurité Civile
NexSIS 18-112 : Concept d’uniformisation des logiciels du traitement de l’alerte et de la gestion opérationnelle (système numérique).
Voici une tribune de Sabine Drexler, Sénateur du Haut-Rhin, que j’ai évidemment cosignée.
Stocamine, chronique d’un désastre écologique annoncé
Cette année le 18 janvier 2021 n’aura jamais aussi bien porté son nom de « Blue Monday », le
jour le plus déprimant de l’année. C’est le jour qu’a choisi la Ministre de la transition
écologique pour annoncer le confinement total sans aucune excavation des déchets
dangereux enfouis dans le site souterrain de Stocamine.
Comment imaginer qu’il serait moins dangereux de laisser 42 000 tonnes de déchets
toxiques sous la plus grande source d’eau potable d’Europe plutôt que d’aller les sortir ?
Il y a trente ans, l’État a décidé de stocker des montagnes de déchets industriels dangereux
dans des galeries creusées à cet effet dans le sel sous une mine de potasse à Wittelsheim et
sous la plus grande nappe phréatique d’eau potable d’Europe.
Seul site de stockage souterrain en couches géologiques profondes de France, Stocamine
devait recueillir des déchets dangereux non radioactifs, parmi lesquels du mercure, des
résidus des filtres des usines d’incinération, de l’arsenic, du cyanure et des matériaux
contenant du cadmium.
A l’époque, ce stockage devait être « provisoire », ce que l’on appelle « réversible », avec une
durée maximale de 30 ans. La réversibilité impliquait qu’il soit possible de déstocker les
déchets à tout moment. L’État s’était engagé à créer un fonds garantissant cette réversibilité.
Pour chaque tonne de déchet enfoui, de l’argent devait être provisionné sur ce fonds en vue
de la sortie de ces déchets. Aujourd’hui, ce fonds qui n’a jamais été alimenté à la hauteur du
coup du déstockage encore un défaut de contrôle des services de contrôle de l’état. Il n’est
abondé que de 2,44 millions d’euros ce qui est dérisoire au regard des 456 millions d’euros
que coûte le déstockage. De même, pour gagner de l’argent en revendant le sel extrait, les
galeries les plus problématiques ont été creusées dans des couches de sel non conforme à
l’arrêté d’autorisation sans que l’État, qui était l’organisme de contrôle, n’intervienne.
Aujourd’hui, ce sont ces zones qui s’effondrent et posent le plus de problèmes.
Cette réversibilité, assortie de la certification par l’État que cette mine était stable et ne serait
jamais envahie par les eaux, avaient permis de lever l’opposition de la commune, de la
population et des élus à ce projet.
En 2002, un incendie s’est produit suite à une exploitation non-conforme et à l’entreposage
illégal de produits provenant d’un entrepôt de produits phytosanitaires qui avait lui-même
brûlé. L’activité du site a alors été stoppée, l’exploitant privé associé aux MDPA a revendu ses
parts à l’État pour un euro seulement alors que l’on savait que les conséquences financières
de ce sinistre seraient énormes. Les tergiversations et les erreurs de gestions successives
aboutissent aujourd’hui à un abandon total par l’État, laissant aux Alsaciens une bombe à
retardement d’un désastre écologique majeur annoncé.
Après de multiples rapports d’experts, nous savons maintenant de façon certaine que le site
de Stocamine sera noyé quelle que soit la technique de confinement qui sera utilisée du fait
de l’instabilité des sols et des secousses sismiques fréquentes dans la région. L’eau provenant
de la nappe s’infiltre dans des vingt-quatre puits de la mine et les trois cent vingt-sept trous
de sondage du secteur. La pression des sols expulsera alors vers la nappe phréatique d’Alsace,
telle une seringue, l’eau hyper polluée issue de la dissolution des déchets solubles stockés.
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Ce cocktail polluant dont personne ne peut scientifiquement estimer l’importance tant les
variables sont incontrôlables, polluera inexorablement la nappe. Cela sera une catastrophe
écologique sans précédent pour l’environnement, la faune, la flore et les 4 millions de
personnes en Alsace et en Allemagne qui vivent grâce à cette source naturelle de 35 milliards
de mètres cubes d’eau. On peut déjà se faire une idée de l’impact que cela aura en regardant
les énormes langues salées qui sont parties du même secteur depuis des terrils et qui polluent
notre nappe en sel jusque dans le Bas-Rhin et en Allemagne.
D’ailleurs, le rapport d’information de l’Assemblée nationale sur le site de Stocamine conclut
à l’application du principe de précaution et au déstockage sans délai des déchets.
C’est pourquoi, nous tirons la sonnette d’alarme et refusons que l’État prenne le risque de
voir l’Alsace subir le premier écocide Européen.
Depuis plus de dix ans, la position des élus, des experts, des associations et des Alsaciens
est constante : nous voulons l’extraction de la totalité d’un maximum de déchets.
Plusieurs scénarios concrets et réalistes de déstockages d’un maximum de déchets dans le
peu de temps qu’il reste sont pourtant possibles et garantissent une réduction importante des
risques.
Le Bureau de recherches géologique et minières (BRGM), service géologique national et
établissement public de référence, a notamment présenté une étude en 2019 qui conclut à la
faisabilité du déstockage. Mais cette étude semble avoir été, elle aussi, perdue par les services
de l’État. Pourtant chaque jour compte !
Le tout dernier rapport d’experts missionné par le gouvernement propose également dans
son scenario 2 de déstocker l’ensemble des produits entreposés pour 456 Millions d’euros,
c’est bien que cela est faisable !
Les progrès techniques permettent aujourd’hui de sortir et traiter ces déchets. Et ce ne seront
pas les mineurs qui s’exposeront, comme le craint la ministre, mais des spécialistes de la
dépollution, des gens dont c’est le métier voir des robots comme cela a déjà été pratiqué à
Bonfol ,situé à la frontière Franco-Suisse, où 200 000 tonnes de déchets ont été sortis de cette
décharge !
Le scénario du confinement choisi par la ministre et le gouvernement consiste simplement à
disposer un « bouchon » de béton pour l’isoler. Cette technique est certes innovante mais elle
n’a pas fait ses preuves et n’empêchera pas les infiltrations dans la nappe phréatique. Ça les
retardera tout au plus.
Pour toutes ces raisons et au regard des enjeux sanitaires et environnementaux que
représente Stocamine :
– Nous refusons que le gouvernement actuel ajoute une erreur écologique aux erreurs
passées. Le risque de contamination de la nappe Rhénane est trop grand !
– Nous refusons que l’État continue à nier 20 ans de rapports demandant le déstockage
des déchets. Oui le déstockage est possible !
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– Nous refusons que l’État balaie d’un revers de main un rapport d’information
parlementaire et une motion votée à l’unanimité par les conseillers d’Alsace, tous deux
en faveur du déstockage.
– Nous refusons que l’État démissionnaire, renonce à la réversibilité qu’il avait promise
à l’origine du projet.
– Nous refusons que l’État fasse des économies sur le dos des générations futures. Les
50 millions d’euros promis sont largement insuffisants !
Par conséquent, nous demandons au Premier ministre :
– De revenir sur cette décision de confinement du site de Stocamine qui n’a pas de sens
et qui cassera définitivement le lien de confiance entre les citoyens et l’État sur notre
territoire.
– De prendre en compte les travaux des experts et des élus qui se sont prononcés pour
le déstockage.
– D’arrêter l’écologie de proclamation incantatoire pour enfin mettre en œuvre une
politique écologique d’action sur des dossiers concrets comme Stocamine.
– D’honorer les engagements pris par ses prédécesseurs lorsque les premiers stockages
ont été entrepris.
– D’appliquer le principe de précaution, inscrit dans la Charte de l’Environnement qui a
une valeur constitutionnelle.
– Si l’État démissionne et ne veut pas prendre la charge du déstockage, d’autoriser la
Collectivité Européenne d’Alsace, qui s’est proposée, à prendre la responsabilité de la
maîtrise d’ouvrage pour effectuer les travaux de déstockage et à lui verser les 456
millions d’euros prévus pour ce faire.
Passez des paroles aux actes.
Le 13 janvier dernier, la ministre de la transition écologique, déclarait dans l’hémicycle du
Sénat, dans le cadre d’un débat sur la pollution des sols que « l’État s’engagera à préparer
l’avenir tout en réparant le passé ». Dont acte !
Ensemble, élus, associations, société civile et pouvoirs publics évitons ce désastre écologique
annoncé, tant qu’il en est encore temps !
PREMIERS SIGNATAIRES
Sabine DREXLER – Sénateur du Haut-Rhin, Conseiller d’Alsace
Christian KLINGER – Sénateur du Haut-Rhin, Président de l’Association des maires du HautRhin
Frédéric BIERRY – Président de la Collectivité Européenne d’Alsace
Visite, ce matin, de monsieur le Premier Ministre à la Collectivité Européenne d’Alsace à Colmar. Moment important pour l’Alsace. L’occasion pour moi, en fin de séance, au nom des sapeurs-pompiers du Bas-Rhin, d’évoquer notre projet souhaité -depuis trois ans- de plateforme commune 15–18-112, permettant encore d’améliorer la gestion opérationnelle à partir du centre de traitement de l’alerte.